Vendredi 10 octobre 2014
Diaporama diffusé en septembre 2014, à Albi, au Centre de Criminologie et Sciences Humaines Midi Pyrénées, à consulter ICI.
Psychocriminologie et Psychopathologie
Vendredi 10 octobre 2014
Diaporama diffusé en septembre 2014, à Albi, au Centre de Criminologie et Sciences Humaines Midi Pyrénées, à consulter ICI.
Mardi 31 janvier 2012
Loick-M Villerbu et Astrid Hirschelmann publient dans Topiques, revue freudienne, 117, Psychanalyse et Criminologie. L’Esprit du temps.2011
Meurtres sur enfants : perspectives psycho-pathologiques en psycho-criminologie. P.29-47
Diaporama PDF en téléchargement (.ppt sur demande). Lire la suite
Lundi 10 octobre 2011
La dangerosité et ses mutations paradigmatiques. Télécharger le PDF.
L-M Villerbu, ICSH-CIS CrimSo Rennes2-France.
Rennes, 4 octobre 2010
Il est aisé de concevoir que l’objet ainsi posé souffre déjà de multiples déterminations aux risques du lecteur. [1]
D’une part parce que la polysémie des termes en rendant possible toutes les confusions peut donner à croire que le crime est dans l’opinion courante ce qu’il est dans le code pénal. D’autre part parce qu’en attribuant au féminin une forme de susbstantivité et au delà de l’adjectivation donner à penser que la rupture ne s’est pas opérée avec l’illusion positiviste du XIXe qui accréditait à la femme une nature et une autre nature à l’homme. De là à se laisser aller à croire qu’il y aurait des criminels essentiellement féminins à côté de criminels essentiellement masculins il n’y a qu’un pas. Plus encore qu’il y aurait une spécificité dont le genre serait la cause. Lire la suite
Sur le phénomène « addict » : essai d’interprétation à propos de la résistance aux mutations d’une néo-réalité.
Psycho-criminologie et psychopathologie. Alcoolisme. Toxicomanie. Violences sexuelles.
Décembre 2009
LM Villerbu – ICSH-GISCRIMSO
Préambule
Dans une conception libérale ou néo libérale de la médecine et du soin rien n’a été plus difficile que de passer aux propositions s’organisant autour de « effet contrainte». Les recours au code de la Santé Publique et au Code Pénal ont de manière régalienne, en France, permis de faire bouger les choses. Entendons par les institutions et leurs agents. Lire la suite
POITIERS MSHS 1-3 octobre 2008
Loick M. Villerbu, Professeur de psychologie, Directeur de l’Institut de Criminologie et Sciences Humaines, (ICSH Rennes2), responsable du GIS Interrégional CRIMSO.
Catégoriser des violences infractionnelles entre criminologie et psychopathologie:
une inactualité, une approche éthique et politique.
Préambule : ce que catégoriser veut dire
Recense-t-on des peurs, des insécurités ou des justifications a priori de modèles opératoires dont c’est l’objet ? La décision précède les motifs écrivait M. Merleau Ponty dans Phénoménologie de la perception, en 1945. Dans l’espace intersubjectif des violences jusqu’où pouvons nous aller qui tienne compte à la fois des droits des personnes et des collectifs, quelles sont les limites qui font du savoir et de ses démarches un écran à la personne subjective de l’autre et de soi ? Pris entre des exigences d’assurer des modalités d’existence sécures au plus grand nombre jusqu’où peut on penser et agir l’exclusion d’une minorité (les « anciens » chroniques en psychiatrie hospitalière, « les arriérés » dans une institution asilaire, les « dangereux » dans une rétention médicalisée) dont rien ne garantit que demain ne sera leur jour de disparition à l’autre, une épiphanie à l’envers. L’hôpital s’est échappé de l’asile dans une opération d’identification, donc de catégorisation. Lire la suite
CONGRES‘sentiels, Actualité Médicales Nantaises, 16/17 novembre 2007
Existe-t-il un profil psychopathologique du coupable ?
La question posée autrement revient à se demander s’il existe une manière d’être et de faire identifiable et repérable, caractérisant de visu ou par construction psychologique un individu type ou une série d’individus type, représentatifs d’un type de délinquance, la délinquance et la criminalité dite sexuelle. Lire la suite
Loick M. Villerbu 1, Anne Winter 2, Christelle Laurent 3
Introduction
Le terme « désistance », en France, est largement inusité. Il n’est sans doute pas anodin que son émergence coïncide avec les travaux sur la délinquance juvénile aux Etats-Unis (1934). Sa référence est manifestement plus connue des familiers des études anglophones. Cependant, bien plus qu’une absence de réflexions et de propositions sur ce qu’il implique, il faut y voir un effet de culture criminologique et des disciplines afférentes à ce corps de doctrine. Dit autrement, ce que le terme implique et que nous allons discuter, est l’effet manifeste à la fois de conceptions de monde différentes et de politiques pénales/pénologiques volontaristes instruisant, dans d’autres dimensions, les acteurs du changement social et psychique. Chaque mot est un monde, écrivait M. Merleau-Ponty : chaque langue entraîne avec elle une conception de l’existence et des rapports intersubjectifs. Lire la suite